

















Jardinière en barbotine de Thomas Sergent, Chérubin et épis de blé
Œuvre exceptionnelle du célèbre céramiste français Thomas Sergent, cette jardinière en barbotine de la fin du XIXe siècle est un véritable hommage à la nature et à l’enfance. Elle met en scène un chérubin allongé dans un décor luxuriant de végétation, entouré d’un abondant bouquet d’épis de blé colorés finement modelés. Le socle est orné de coquillages, d’algues et de fruits terrestres, dans une explosion de textures et de couleurs typique du style naturaliste de Sergent.
Richement émaillée dans une palette éclatante de verts, bleus, jaunes et mauves, la pièce allie fantaisie, virtuosité technique et poésie décorative. Elle incarne parfaitement l’esprit de la faïence artistique parisienne de la fin du XIXe siècle, influencée par le goût de la Renaissance et les inspirations naturalistes du Second Empire.
Œuvre exceptionnelle du célèbre céramiste français Thomas Sergent, cette jardinière en barbotine de la fin du XIXe siècle est un véritable hommage à la nature et à l’enfance. Elle met en scène un chérubin allongé dans un décor luxuriant de végétation, entouré d’un abondant bouquet d’épis de blé colorés finement modelés. Le socle est orné de coquillages, d’algues et de fruits terrestres, dans une explosion de textures et de couleurs typique du style naturaliste de Sergent.
Richement émaillée dans une palette éclatante de verts, bleus, jaunes et mauves, la pièce allie fantaisie, virtuosité technique et poésie décorative. Elle incarne parfaitement l’esprit de la faïence artistique parisienne de la fin du XIXe siècle, influencée par le goût de la Renaissance et les inspirations naturalistes du Second Empire.
Œuvre exceptionnelle du célèbre céramiste français Thomas Sergent, cette jardinière en barbotine de la fin du XIXe siècle est un véritable hommage à la nature et à l’enfance. Elle met en scène un chérubin allongé dans un décor luxuriant de végétation, entouré d’un abondant bouquet d’épis de blé colorés finement modelés. Le socle est orné de coquillages, d’algues et de fruits terrestres, dans une explosion de textures et de couleurs typique du style naturaliste de Sergent.
Richement émaillée dans une palette éclatante de verts, bleus, jaunes et mauves, la pièce allie fantaisie, virtuosité technique et poésie décorative. Elle incarne parfaitement l’esprit de la faïence artistique parisienne de la fin du XIXe siècle, influencée par le goût de la Renaissance et les inspirations naturalistes du Second Empire.
La barbotine désigne une technique de céramique émaillée en relief qui connaît son apogée en France à la seconde moitié du XIXᵉ siècle. Apparue dès le XVIIIᵉ siècle, elle se développe pleinement avec l’essor de la faïence artistique, notamment dans des manufactures comme celles de Thomas Sergent, Onnaing, Sarreguemines, ou Lunéville. Inspirée à la fois par la nature, la mythologie, et les scènes de genre, la barbotine séduit par sa palette vive, ses détails en trois dimensions et sa capacité à mêler fantaisie, naturalisme et virtuosité technique. Chaque pièce, souvent peinte à la main, est unique et témoigne du savoir-faire d’un artisanat aujourd’hui disparu. Ces objets étaient à la fois utilitaires et ornementaux, pensés pour embellir les intérieurs bourgeois de la Belle Époque. De nos jours, la barbotine est très recherchée des collectionneurs pour son caractère décoratif affirmé, sa richesse chromatique, et parce qu’on ne produit plus aujourd’hui d’objets de cette qualité artisanale.